Düsseldorf, en Allemagne, 16 000 enfants vivent sous le seuil de pauvreté. Sur ce mini-site à l'initiative de l'organisation caritative Kindertafel Düsseldorf, l'internaute voit une file d'enfants s'avancer avec une assiette vide. Il peut les remplir comme il le souhaite, puis clique sur "chekout" et fait une donation. VOIR LE SITE
Testez votre coiffure en ligne !
Pour le lancement de la nouvelle gamme capillaire pour homme d'Axe, la campagne "100 Girls" reposait sur un mini-site où les internautes pouvaient envoyer leur photo, afin que leur coupe de cheveux soit jugée en direct par un groupe de 100 jeunes femmes. Leur était ensuite renvoyée une série de recommandations de produits Axe destinés à les aider à obtenir une coupe "approuvée par les filles". LE PETIT FILM ICI
Boysen Paints Flowers Campaign
Café gratuit pour toute la ville !
C’est pour cette opération que McDonald’s et l’agence Cossette Atlantic ont mis sur pied cette jolie action de marketing alternatif.
La vidéo virale de marque la plus vue de l’histoire de l’internet en France ?
Ou comment récupérer des fichiers de mails...
Business Case Orange Par You to You from You to You on Vimeo.
Vidéo virale et parodie
La parodie d’une vidéo virale représente l’une des preuves du succès d’une vidéo virale. Une parodie permet de raviver l’intérêt pour la vidéo originale, et donc d’augmenter son “temps de vie”, car elle lui offre une nouvelle visibilité, via l’apport d’un contenu nouveau. En regardant une parodie, les utilisateurs sont ainsi souvent amenés à aller voir la vidéo originale, afin de “comparer” et vice-versa. Ainsi, la parodie sera souvent “tirée”, car elle se situera dans les premières positions en “related videos” derrière la vidéo originale.
La parodie représente donc un outil qui peut devenir redoutable en termes d’efficacité et de potentiel de diffusion.
Par ailleurs, comme toute vidéo virale, le succès d’une parodie dépend de nombreux facteurs clés tels que :
Proximité : pour qu’une parodie soit identifiée en tant que telle, elle doit comporter au moins un élément significatif qui rappelle la vidéo originale
Effet wow : que la parodie fasse rire, choque ou impressionne, l’effet doit être au moins au même niveau sinon supérieur à celui de la vidéo originale pour être placé au statut de parodie
Réactivité : le buzz prend très vite, donc pour surfer dessus en créant une parodie, il faut être très réactif vis-à-vis du succès de la vidéo originale
Légalité : la parodie est une technique délicate qui est sujette à des lois précises en fonction du pays, donc à manier avec précaution
Il existe 6 “modèles” de parodies “professionnelles” de vidéos virales.
1. En réponse à une pub comparative
2. “Suite” d’une vidéo virale
3. Imitation d’une personnalité
4. Outil de critique
5. L’auto-parodie d’une marque
6. La “reprise” d’une vidéo amateur par une marque
Voici quelques exemples
1. En réponse à une pub comparative
Ne suivant pas les mêmes règles dans tous les pays, la parodie fondée sur une pub comparative intervient donc souvent en réponse à une vidéo réalisée par une marque concurrente qui opère une comparaison forte pouvant aller jusqu’à une réelle “attaque” (dans les pays où cela est permis, bien évidemment).
Originale : I’m a Mac, I’m a PC
Parodie : I’m a PC
2. “Suite” d’une vidéo virale
Ce modèle de parodie est délicat car il demande une forte réactivité. En effet, une marque peut surfer sur le succès d’une vidéo virale d’une autre marque concurrente ou non, ou d’une vidéo d’amateur, en établissant une “suite” de la vidéo originale.
Originale : Heineken Walk-in Fridge
Parodie : Bavaria spoofs Heineken walk-in fridge
. Outil de critique
La parodie peut servir d’outil de critique d’un produit ou d’une marque, sans pour autant comparer la marque parodiée à une autre marque, mais en détournant le message initial par un nouveau message contraire ou critique. Ainsi, la parodie conserve une structure similaire à la vidéo originale.
Originale : Dove Onslaught
Parodie : “Dove Onslaughter” (Greenpeace)
La parodie représente donc un outil qui peut devenir redoutable en termes d’efficacité et de potentiel de diffusion.
Par ailleurs, comme toute vidéo virale, le succès d’une parodie dépend de nombreux facteurs clés tels que :
Proximité : pour qu’une parodie soit identifiée en tant que telle, elle doit comporter au moins un élément significatif qui rappelle la vidéo originale
Effet wow : que la parodie fasse rire, choque ou impressionne, l’effet doit être au moins au même niveau sinon supérieur à celui de la vidéo originale pour être placé au statut de parodie
Réactivité : le buzz prend très vite, donc pour surfer dessus en créant une parodie, il faut être très réactif vis-à-vis du succès de la vidéo originale
Légalité : la parodie est une technique délicate qui est sujette à des lois précises en fonction du pays, donc à manier avec précaution
Il existe 6 “modèles” de parodies “professionnelles” de vidéos virales.
1. En réponse à une pub comparative
2. “Suite” d’une vidéo virale
3. Imitation d’une personnalité
4. Outil de critique
5. L’auto-parodie d’une marque
6. La “reprise” d’une vidéo amateur par une marque
Voici quelques exemples
1. En réponse à une pub comparative
Ne suivant pas les mêmes règles dans tous les pays, la parodie fondée sur une pub comparative intervient donc souvent en réponse à une vidéo réalisée par une marque concurrente qui opère une comparaison forte pouvant aller jusqu’à une réelle “attaque” (dans les pays où cela est permis, bien évidemment).
Originale : I’m a Mac, I’m a PC
Parodie : I’m a PC
2. “Suite” d’une vidéo virale
Ce modèle de parodie est délicat car il demande une forte réactivité. En effet, une marque peut surfer sur le succès d’une vidéo virale d’une autre marque concurrente ou non, ou d’une vidéo d’amateur, en établissant une “suite” de la vidéo originale.
Originale : Heineken Walk-in Fridge
Parodie : Bavaria spoofs Heineken walk-in fridge
. Outil de critique
La parodie peut servir d’outil de critique d’un produit ou d’une marque, sans pour autant comparer la marque parodiée à une autre marque, mais en détournant le message initial par un nouveau message contraire ou critique. Ainsi, la parodie conserve une structure similaire à la vidéo originale.
Originale : Dove Onslaught
Parodie : “Dove Onslaughter” (Greenpeace)
La pub dont vous êtes le héros !!!
Un dérivé récent consiste à donner le pouvoir au consomm'acteur. Le consommateur moyen peut alors faire de grandes choses, il a le pouvoir. Le modèle joue sur l’émotion et l’implication, la participation du consommateur. Ce modèle s’applique bien aux catégories de produits fortement impliquant pour les consommateurs.
La com virale : les “fakes or not” : stop ou encore ?
La vidéo virale tout le monde connait ! Certaines remportent un franc succès d’autre moins voir pas du tout.Depuis quelques mois, une tendance émerge. De plus en plus de vidéos mêlant réel et fiction (ou effets spéciaux) font leur apparition sur la toile.A la manière d’un film amateur elles ont pour principe que l’internaute se dise : Mais comment font-ils ça?” ou encore “c’est vrai ou pas?”.
Nike ou l’annonceur qui sait utiliser la vidéo virale, normal pour une telle marque vous me direz. Avec comme exemple Kobe Bryant, sautant au dessus d’une voiture, ou encore la vidéo virale avec les footballeurs Hatem Ben Arfa (joueur de l’Olympique de Marseille) et Guillaume Hoarau (attaquant du Paris Saint-Germain) qui avaient alimenté le buzz pendant plusieurs semaines jusqu’au fameux match ou “classico” entre les deux équipes. Chaque nouvelle vidéo de Nike génère un nouveau débat sur la toile.*
Face à l’engouement que ces vidéos provoquent, l’industrie du cinéma s’est vite intéressée à cette méthode pour faire naître le désir au sein des spectateurs. Quelques semaines avant la sortie attendue de Transformers 2, plusieurs petites vidéos virales “amateurs” ont vu le jour sur l’ensemble de la toile mettant en scène les robots du film. Les robots, présents dans les vidéos et de manière très discrète permettaient d’amplifier l’impression de réalité pour alimenter le buzz.
Cependant, avec cette accumulation de ce type de vidéos, les vidéos de ce genre deviennent vite inutiles et tombent dans le domaine du “déjà-vu”. C’est le cas de la récente vidéo pour le film G.I Joe, Le réveil du Cobra qui nous montre un des agents de l’équipe d’élite faire du skate jusqu’à aller s’accrocher à un hélicoptère…
On peut également noter la dernière vidéo virale “Fake or not” qui buzz sur la toile avec le “megawoosh” qui encore une fois utilise le procédé amateur+effets spéciaux pour promouvoir un produit en jouant sur la viralité propre à internet, en cherchant à créer le débat.
Le procédé du reveal de telles vidéos a alors souvent été utilisé pour promouvoir une marque ou un produit sans pour autant être une garantie de succès. En effet, si la vidéo en elle-même n’est pas bien réalisée ou qu’elle ne s’appuie pas sur quelque chose de fort et mémorisable, le reveal risque de passer inaperçu tuant le buzz suscité (ou pas) par la vidéo virale. De plus, utiliser le reveal non immédiat n’assure pas de visibilité directe pour la marque et il faut donc penser à convertir l’audience qui a vu la première vidéo pour lui dire “C’est nous qui l’avons fait!”
Nike ou l’annonceur qui sait utiliser la vidéo virale, normal pour une telle marque vous me direz. Avec comme exemple Kobe Bryant, sautant au dessus d’une voiture, ou encore la vidéo virale avec les footballeurs Hatem Ben Arfa (joueur de l’Olympique de Marseille) et Guillaume Hoarau (attaquant du Paris Saint-Germain) qui avaient alimenté le buzz pendant plusieurs semaines jusqu’au fameux match ou “classico” entre les deux équipes. Chaque nouvelle vidéo de Nike génère un nouveau débat sur la toile.*
Face à l’engouement que ces vidéos provoquent, l’industrie du cinéma s’est vite intéressée à cette méthode pour faire naître le désir au sein des spectateurs. Quelques semaines avant la sortie attendue de Transformers 2, plusieurs petites vidéos virales “amateurs” ont vu le jour sur l’ensemble de la toile mettant en scène les robots du film. Les robots, présents dans les vidéos et de manière très discrète permettaient d’amplifier l’impression de réalité pour alimenter le buzz.
Cependant, avec cette accumulation de ce type de vidéos, les vidéos de ce genre deviennent vite inutiles et tombent dans le domaine du “déjà-vu”. C’est le cas de la récente vidéo pour le film G.I Joe, Le réveil du Cobra qui nous montre un des agents de l’équipe d’élite faire du skate jusqu’à aller s’accrocher à un hélicoptère…
On peut également noter la dernière vidéo virale “Fake or not” qui buzz sur la toile avec le “megawoosh” qui encore une fois utilise le procédé amateur+effets spéciaux pour promouvoir un produit en jouant sur la viralité propre à internet, en cherchant à créer le débat.
Le procédé du reveal de telles vidéos a alors souvent été utilisé pour promouvoir une marque ou un produit sans pour autant être une garantie de succès. En effet, si la vidéo en elle-même n’est pas bien réalisée ou qu’elle ne s’appuie pas sur quelque chose de fort et mémorisable, le reveal risque de passer inaperçu tuant le buzz suscité (ou pas) par la vidéo virale. De plus, utiliser le reveal non immédiat n’assure pas de visibilité directe pour la marque et il faut donc penser à convertir l’audience qui a vu la première vidéo pour lui dire “C’est nous qui l’avons fait!”
NOuveau FLASHMOB de T-MOBILE
Encore un Flashmob incroyable de l'opérateur t-MOBILE qui est les plus grand spécialiste de la pub virale... plus rapidement que la grippe A cette vidéo se transmet à une allure exceptionnelle et... ne coûte pas énormément !
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